Investissements étrangers : la France, pays le plus attractif en Europe, selon le cabinet EY
NOUVEAUTÉ !La France reste le pays le plus attractif pour la 5e année consécutive, dans une Europe en perte de vitesse
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Il ne s’agit évidemment pas de cumuler toutes ces offres pour empocher ces primes en euros. Ces offres de bienvenue sont toutes soumises à des conditions de souscription, parfois obligeant à faire du compte courant ouvert, son compte principal. Toutefois cela devrait permettre de choisir sa banque plus sereinement, en connaissance des offres de la concurrence.
L’indice parisien a avancé de 0,71% pendant que Francfort a pris 0,07% et Londres 0,65%. Comme très souvent ces dernières semaines, les regards ont été braqués sur les Etats-Unis, dont les dirigeants, dévorés par la perspective de l’élection présidentielle dans moins d’un mois, n’arrivent pas à s’entendre sur un plan de relance massif. "Une histoire sans fin", résumait à l’AFP vendredi Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
L’expert évoquait toutefois comme ferment à la hausse des indices vendredi de nouvelles rumeurs de presse sur la volonté de part et d’autre d’avancer vers une entente. A peine remis de sa maladie du Covid-19, le président Donald Trump a soufflé le chaud et le froid toute la semaine sur un potentiel accord. "Il y a eu quelques rebondissements mais les investisseurs y croient", résume David Madden, analyste pour CMC Markets UK.
Egalement aux Etats-Unis, "même si l’on a encore une incertitude sur l’élection présidentielle, le marché commence à être orienté par les sondages qui donnent vainqueur Joe Biden", ajoutait M. Dembik.
Les places européennes ont ainsi été aidées par la progression des indices à Wall Street, leDow Jones prenant 0,77%, le Nasdaq 1,23% et le S&P 500 0,96%à la mi-séance. En outre, les investisseurs ont pu apprécier que l’activité dans les services en Chine s’est inscrite en septembre à son plus haut niveau depuis trois mois.
Le tribunal judiciaire de Paris a ordonné vendredi en référé la "suspension de l’opération" d’acquisition par le géant de l’eau et des déchets Veolia (-0,92% à 18,75 euros) des actions de son concurrent Suez (-0,62% à 15,90 euros) détenues par l’énergéticien Engie (+0,08% à 12,14 euros) et de l’OPA à venir de Veolia sur Suez. Engie et Veoliaont annoncé qu’ils allaient faire appel.
L’opérateur boursier paneuropéen Euronext (-4,39% à 98,00 euros) va racheter la Bourse de Milan (+0,07% à 12,95 euros) pour 4,33 milliards d’euros, un prix au-dessus de la fourchette des estimations, renforçant son statut de poids lourd du continent. Le vendeur, le London Stock Exchange, a pris 0,41% à 8.880 pence.
Le géant allemand de la chimie (-3,78% à 55,04 euros) a fait état vendredi de lourdes pertes au troisième trimestre (2,1 milliards d’euros), plombé par la crise liée au Covid-19, mais s’attend à une amélioration pour les trois derniers mois de l’année.
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