Immobilier : vendre son bien en nue-propriété, un marché en forte progression
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Publié le par
Il ne s’agit évidemment pas de cumuler toutes ces offres pour empocher ces primes en euros. Ces offres de bienvenue sont toutes soumises à des conditions de souscription, parfois obligeant à faire du compte courant ouvert, son compte principal. Toutefois cela devrait permettre de choisir sa banque plus sereinement, en connaissance des offres de la concurrence.
Évidemment, tout le monde accuse l’inflation. Le coût de la vie augmente, près de 25% des Français ne mangeraient pas à leur faim. Des statistiques dont on pourrait douter du reflet de la réalité. Et pourtant, si ces données dressent un tableau noir de la situation actuelle, d’autres, concernant les loyers impayés, confirment qu’une partie de la population est bien sur le seuil de la rupture financière. Le taux de loyers impayés serait désormais 4 fois supérieur à celui rencontré durant la crise COVID. Sans parler de l’explosion des relances...
Les locataires ont de plus en plus de mal à payer leur loyer en temps et en heure. Et c’est l’augmentation des petits impayés qui est la plus spectaculaire. Ceux qui nécessitent des relances à J+1. En région parisienne on est passé de 5% de baux concernés avant le Covid à 18% au mois d’août.
Pour rappel, après une très forte augmentation des relances au moment de la crise liée au COVID – entre mars 2020 (avant la crise du Covid) et mars 2021 (au moment où les aides de l’État battaient leur plein), les relances pour impayés avaient été multipliées par 2 en Île-de-France ; quasiment par 3 en région ! – les chiffres des impayés se sont par la suite stabilisés à un niveau élevé par rapport à la moyenne des dernières années, avant de repartir à la hausse en ce début d’année. Malgré une stabilisation des chiffres des impayés dernièrement, ils demeurent, au niveau national, sensiblement élevés comparé à la moyenne des années précédentes.
« La conjoncture actuelle (inflation, cherté de l’énergie, etc.) continue d’avoir un impact sur le nombre de relances pour impayés. », constate Arnaud Hacquart, président-fondateur d’Imodirect. « En Île-de-France et dans les grandes villes, les impayés continuent leur progression. Seule exception, les relances pour impayés enregistrent une légère amélioration en Province, baissant à 3,75% contre 3,89% en mars dernier pour celles à J+30. Ce qui reste un niveau particulièrement élevé ».
Plus inquiétant encore, l’état de ces mêmes petits impayés à l’échelle des 10 plus grandes villes de France en dehors de la capitale. Là les relances à J+1 concernent désormais 25% des dossiers de location. Un record historique. Même chose sur le reste du territoire. Un locataire sur 4 doit désormais être relancé, insiste le gestionnaire Imodirect.
Mais au-delà de ces retards de paiement, inférieurs à 30 jours, ce sont ceux de plus de 30 jours qui sont évidemment les plus inquiétants : les impayés. Ceux-là restent encore très largement minoritaires, puisqu’ils ne représentent que 3,7% des dossiers. Cela peut paraître faible, mais c’est tout de même 4 fois plus qu’avant la crise sanitaire.
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Déjà annoncé en février dernier, le plan social du premier promoteur de France, Nexity, est désormais dévoilé dans ses détails.
L’ANAH a publié un bilan catastrophique pour ce 1er trimestre 2024 : seulement 4 % des objectifs de l’année 2024 sont atteints !
Comme l’an passé, Laforêt relance son opération Les Prix Bleus, pour tenter de séduire pour les acquéreurs.
Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
La BCE a confirmé ce jeudi 11 avril 2024 ne pas devoir attendre la FED afin de procéder à sa première baisse de taux directeur. Cette baisse est anticipée pour le mois de juin prochain. L’impact (...)