Immobilier : vendre son bien en nue-propriété, un marché en forte progression
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Publié le par
Il ne s’agit évidemment pas de cumuler toutes ces offres pour empocher ces primes en euros. Ces offres de bienvenue sont toutes soumises à des conditions de souscription, parfois obligeant à faire du compte courant ouvert, son compte principal. Toutefois cela devrait permettre de choisir sa banque plus sereinement, en connaissance des offres de la concurrence.
Au premier trimestre, les ventes des promoteurs français ont chuté de 30% par rapport à lamême époque de l’an dernier, selon les chiffres de la FPI, la fédération du secteur. Ces chiffres concernent essentiellement les ventes de logements situés dans des immeubles, la principale activité des promoteurs immobiliers. Par essence et par contraste avec les maisons, il s’agitd’un marché d’abord situé dans les villes.
Il a subi les effets du confinement mis en oeuvre fin mars face au Covid-19. De nombreux chantiers ont été interrompus et l’examen des permis de construire a largement cessé. Mais les chiffres des promoteurs ne donnent pour l’heure qu’une idée des premiers effets du confinement, qui a perduré jusqu’à début mai, et témoignent donc d’une situation difficile avant même la crise. "Le Covid a exacerbé une situation et des tendances qui préexistaient", a résumé Alexandra François-Cuxac, présidente de la FPI, lors d’une conférence de presse.
Depuis plusieurs trimestres, les promoteurs s’inquiétaient déjà de la difficulté à lancer des projets. En témoigne le niveau de leur offre, évalué par l’indice des mises en vente. Au premier trimestre, celles-ci se sont effondrées de moitié. "On avait déjà une très forte contraction de l’offre de logements et on était déjà sur une problématique de ralentissement", a insisté Mme François-Cuxac, prévenant que les indicateurs seraient encore plus "dégradés" au second trimestre. Le secteur évoque en premier lieula timidité supposée des élus à approuver des projets à l’approche des élections municipales.
Le Covid-19 a, de fait, prolongé la situation car, si le premier tour a pu se tenir en mars, le second a été repoussé au 28 juin. "On est en crise avec une période électoraleà rallonge qui a créé de l’attentisme", a résumé Mme François-Cuxac. Appelant le gouvernement à prendre des mesures de relance et de simplification, les promoteurs se sont par ailleurs inscrits en faux contre une vision qui lierait crise sanitaire et densité d’habitation en milieuurbain. "Quand la ville recule, la civilisation recule", a prévenu Marc Villand, président de la FPI en à
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Déjà annoncé en février dernier, le plan social du premier promoteur de France, Nexity, est désormais dévoilé dans ses détails.
L’ANAH a publié un bilan catastrophique pour ce 1er trimestre 2024 : seulement 4 % des objectifs de l’année 2024 sont atteints !
Comme l’an passé, Laforêt relance son opération Les Prix Bleus, pour tenter de séduire pour les acquéreurs.
Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
La BCE a confirmé ce jeudi 11 avril 2024 ne pas devoir attendre la FED afin de procéder à sa première baisse de taux directeur. Cette baisse est anticipée pour le mois de juin prochain. L’impact (...)