Les loyers ont augmenté en moyenne de +2.66% sur un an, soit sensiblement moins que l’inflation
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Il ne s’agit évidemment pas de cumuler toutes ces offres pour empocher ces primes en euros. Ces offres de bienvenue sont toutes soumises à des conditions de souscription, parfois obligeant à faire du compte courant ouvert, son compte principal. Toutefois cela devrait permettre de choisir sa banque plus sereinement, en connaissance des offres de la concurrence.
Fin de la crise immobilière : certains médias nationaux se sont emballés un peu vite. Ils ont été recadrés par les professionnels de l’immobilier. Non, la crise immobilière n’est pas finie, et non les frémissements actuels ne concernent essentiellement que des visites. Les candidats acheteurs repèrent, mais ne passent pas à l’action pour autant. Qui du reste irait souscrire un crédit immobilier alors que les taux sont attendus en plus forte baisse dans tout juste deux mois ? Ce seront quelques milliers d’euros d’économie à la clé.
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"Une reprise du marché ? Non, un rattrapage plutôt qu’un redémarrage", Loïc Cantin (FNAIM). "Le redémarrage va arriver mais aujourd’hui, il n’est pas acté" , répond Loïc Cantin, président de la FNAIM au micro d’Ariane Artinian pour Mon Podcast Immo. Loïc Cantin est l’invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d’Ariane Artinian, le président de la FNAIM livre son analyse de la conjoncture immobilière. Peut-on parler de reprise du marché depuis le début de l’année ? "Le redémarrage, il va arriver. On est en bonne voie, mais aujourd’hui, il n’est pas acté" , répond Loïc Cantin.
Selon Loïc Cantin, bien que les signaux de redressement soient perceptibles, le marché immobilier reste dans une phase de transition. « Nous observons une légère amélioration, principalement due à un assouplissement des conditions de crédit. Cependant, ce n’est pas encore suffisant pour parler d’un véritable redémarrage, » explique-t-il. En janvier, la production de crédits immobiliers était encore loin des niveaux record, avec seulement 10 milliards d’euros distribués contre 25 milliards au plus haut.
Sans surprise, la baisse des prix reste encore trop timide. Les baisses devraient s’accélérer après les JO, permettant potentiellement de relancer cette inertie essentielle à ce marché. "La baisse des prix de l’immobilier n’est pas encore suffisante pour redynamiser le marché" observe Loïc Cantin. L’année 2023 a été l’année de la baisse des ventes, 2024 sera celle de la baisse des prix. Les prévisions 2024 du président de la FNAIM ? Un marché de 800 000 ventes en 2024 et une baisse de prix de 5% à 7%. "La baisse des prix entamée est une bonne nouvelle, mais elle n’est pas encore suffisante pour redynamiser le marché de manière significative" , affirme t-il.
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