Keynote Apple : iPhone 16, 16 Plus, 16 Pro et 16 Pro Max dopés à l’intelligence artificielle, ce soir à 19 heures
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Il ne s’agit évidemment pas de cumuler toutes ces offres pour empocher ces primes en euros. Ces offres de bienvenue sont toutes soumises à des conditions de souscription, parfois obligeant à faire du compte courant ouvert, son compte principal. Toutefois cela devrait permettre de choisir sa banque plus sereinement, en connaissance des offres de la concurrence.
Parmi les principales places financières, Francfort a terminé en hausse, bénéficiant modérément de l’optimisme du gouvernement allemand sur l’évitement d’un nouveau confinement. Paris a reculé légèrement de 0,18% alors que Londres, après un weekend de trois jours, a bien plus souffert, perdant 1,70%.
Les marchés ont été pénalisés par la faiblesse du dollar, qui a mécaniquement renchéri la livre et l’euro. La monnaie européenne a atteint un record depuis deux ans pendant la séance, à 1,20 dollar ce qui a envoyé "signal négatif pour les marchés" estime Daniel Larrouturou, gérant actions pour Dôm Finance.
Le billet vert est ensuiteremonté à la faveur de la publication de l’indice manufacturier ISM aux Etats-Unis, avec un résultat meilleur qu’attendu qui a donné une bonne dynamique à Wall Street et par ricochet aux places européennes.
A 18H35 , l’indice vedette américain, le Dow Jones Industrial Average, était revenu dans le vert, avançant de 0,26%, tandis que l’indice élargi S&P 500 gagnait 0,37% et l’indiceà forte coloration technologique Nasdaq 1,05%.
Autre élément ayant pesé sur les marchés européens dans la matinée, les investisseurs ont appris que la zone euro était passée en déflation en août pour la première fois depuis quatre ans. "Malgré les efforts de la Banque centrale européenne (...), le cercle vertueux de l’inflation ne peut pas se produire", explique M. Larrouturou.
Sur le marché de la dette, les taux sont restés globalement stables, sauf en Italie où ils ont baissé sensiblement.
Le marché automobile français s’est contracté de 19,8% en août par rapport à la même période de 2019, après deux mois de maigres rebonds. Renault, qui a le plus souffert de ces mauvais chiffres, s’est replié de 4,47% à 22,78 euros, et Peugeot de 2,44% à 14,02 euros. Les équipementiers ont aussi été pénalisés, avec Michelin qui a reculé 0,66% à 94 euros.
En Allemagne, Continental, durement frappé par la crise, a annoncé mardi l’extension d’un vaste programme de restructuration lancé en 2019. Le titre a perdu 2,35% à 89,06 euros.
Bons derniers de la cote à Londres, le motoriste Rolls-Royce a plongé de 14,27% à 206,70 pence et le groupe aérien IAG de 6,38% à 202,50 pence. Les deux titres sont victimes d’un environnement de plus en plus défavorable au transport aérien mondial, avec la remontée des cas de virus et de nouvelles restrictions imposées aux voyages. Airbus, qui avait perdu près de 4% lundi, a rebondi de 1,06% à 69,57 euros.
Les banques ont reculé en raison de la déflation dans la zone euro, qui ne permet pas d’envisager une remontée des taux. Société Générale a perdu 2,59% à 13,23 euros, et BNP 1,31% à 36,09 euros.
Les valeurs technologiques ont profité de l’élan toujours plus vigoureux du Nasdaq. Worldline a gagné 2,67% à 79,08 euros, et Atos 1,32% à 73,46 euros. En Allemagne, SAP a gagné 0,60% à 138,64 euros.
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