
CAC40 : Vivendi revient, Worldline repart
Si la sortie du CAC40 de Worldline n’est pas une surprise, le retour de Vivendi dans l’indice parisien, seulement 6 mois après son exclusion, est bien plus surprenant.
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Il ne s’agit évidemment pas de cumuler toutes ces offres pour empocher ces primes en euros. Ces offres de bienvenue sont toutes soumises à des conditions de souscription, parfois obligeant à faire du compte courant ouvert, son compte principal. Toutefois cela devrait permettre de choisir sa banque plus sereinement, en connaissance des offres de la concurrence.
L’indice CAC 40 a perdu 22,27 points à 5.175,52 points. Vendredi, il avait pris 3,71%. L’indice parisien a passé l’essentiel de la séance légèrement dans le rouge. Les indices européens "marquent une petite pause, avec d’un côté le repli des secteurs du luxe ou de la technologie, en partie compensé par une poursuite de la hausse pour les valeurs qui avaient le plus baissé comme les banques ou l’automobile", a relevé auprès de l’AFP Daniel Larrouturou, gérant actions chez Dôm Finance.
Les marchés avaient salué par de fortes hausses les mesures des banques centrales et l’absence de signe de regain de l’épidémie de Covid-19 malgré le déconfinement, en mettant de côté des indicateurs encore marqués par la crise.
A l’instar lundi de l’indice de la production industrielle allemande, qui a connu un recul mensuel historique de 17,9%, pénalisé par les conséquences de la pandémie.
"Mais le repli reste limité et la dynamique plus globale reste positive", a estimé M. Larrouturou.
Les valeurs cycliques, les plus sensibles à la conjoncture, sont recherchées, a-t-il poursuivi, "c’est le signe que l’appétit pour le risque est toujours là et que les investisseurs sont confiants dans la vigueur de la reprise".
Les investisseurs ont continué par ailleurs à suivre une actualité politique très tendue aux États-Unis où les protestations restent massives contre la mort de George Floyd, ainsi que les relations toujours houleuses entre Pékin et Washington. Mais pour l’instant cela reste au second plan.
Pour ce qui est des manifestations, "les investisseurs ne les considèrent par pour le moment comme susceptibles d’avoir un impact sur la macroéconomie", a observé M. Larrouturou. "Quant au dossier commercial, ils se sont habitués à vivre avec des rebondissements depuis longtemps".
Europcar s’envole -
Sur le terrain des valeurs, le regain d’intérêt des investisseurs pour les titres les plus délaissés pendant le pic de la crise sanitaire s’est poursuivi, à l’exemple d’Europcar qui s’est envolé de 21,01% à 2,49 euros, un cours plus que doublé depuis son plus bas du 16 mars à 1,22 euro.
Les valeurs bancaires ont aussi été recherchées : Société générale a pris 5,56% à 17,78 euros, Crédit agricole 2,02% à 9,28 euros et BNP Paribas 0,86% à 39,45 euros.
L’automobile a également profité du mouvement. Renault a gagné 1,64% à 27,38 euros, et Peugeot de 3,50% à 15,97 euros.
A l’inverse,certains titres technologiques ont perdu du terrain, à l’instar de STMicroelectronics ou Worldline (-3,88% à 67,46 euros).
Le luxe a aussi reculé. LVMH a perdu 2,02% à 396,10 euros, Kering 2,76% à 521,30 euros et Hermès 2,06% à 770 euros.
Si la sortie du CAC40 de Worldline n’est pas une surprise, le retour de Vivendi dans l’indice parisien, seulement 6 mois après son exclusion, est bien plus surprenant.
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